FICHE ELEVEURJuan José GONZÁLEZ NANDÍN AGREDAnaît : 1800/1810-11-30 meurt : |
Entre 1893 et 1899, l'hidalgo Juan José GONZÁLEZ NANDÍN AGREDA succède, semble-t-il avec un certain succès pendant un certain temps, à Ángel GONZÁLEZ NANDÍN : un parent, mais pas son fils comme le disent beaucoup [sa mère est María Bella Manuela de AGREDA y XIMÉNEZ CHANTRE, née en 1792 ; et son père Juan Antonio GONZÁLEZ NANDÍN y TOSSO, né en 1784. Tous deux sont de Cádiz. Ils ont 2 enfants : Juan José et Amalia GONZÁLEZ NANDÍN y AGREDA]. On suppose ici que Juan José GONZÁLEZ NANDÍN hérite de l'élevage et du fer de son parent Ángel GONZÁLEZ NANDÍN. Sa ganadería est un équivalent du pablorromero des origines. On sait peu de choses sur ce ganadero...
En 1935, Clemente TASSARA BUIZA achète l'élevage, semble-t-il en piteux état, qu'il place dans sa pâture et va revendre l'année suivante : 1- pour partie à José Luis XIMÉNEZ de SANDOVAL, Marqués de la RIBERA de TAJUÑA, qui crée la "pâture" -Marqués de la RIBERA-, avant de créer un élevage de même nom ; 2- pour partie au torero Francisco CASADO "FATIGÓN" (le père du matador Paquito CASADO), pour un fer de ce qu'on appelle alors le second groupe et qui n'est pas admis dans les corridas formelles.
N.B._ Cet élevage est censé durer jusqu'en 1935. Compte-tenu de l'âge des parents de Juan José, nés en 1792 et 1784, celui-ci devrait alors être centenaire ! Il est probable qu'un de ses fils lui aura succédé. On trouve d'ailleurs mention d'un "Juan" GONZÁLEZ NANDÍN ganadero en 1931 : appeler un fils du premier prénom de son père est alors chose courante... Faute d'informations plus précises, on fait ici "comme si" Juan José avait vécu jusqu'à un âge très avancé.